Jetons-monnaie S I E M A localisés à Paris
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S I E M A
50 (centimes)
Laiton rond troué - 19 mm
2,65 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
50 (centimes)
Laiton rond troué - 19 mm
2,67 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
50 (centimes)
Laiton rond troué - 19 mm
2,66 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
50 (centimes)
Laiton rond troué - 19 mm
2,68 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,61 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,65 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,57 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,62 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,64 grammes
Graveur: Volant
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S I E M A
75 (centimes)
Laiton nickelé rond troué - 19 mm
2,73 grammes
Graveur: Volant
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C'est finalement dans Les Echos du 24 février 1937 que la localisation a été trouvée, il s'agit de la Société Industrielle pour l'Exploitation des Machines Automatiques qui avait son siège au 28, Rue de Bondy à Paris :
Merci à Philippe Nicol pour cette information.
Les pistes suivantes ont été investiguées et abandonnées, à commencer par la Société Industrielle d'Electrolyse et de Mécanique Appliquées mise en redressement judiciaire en 1958 par le Tribunal de Commerce de la Seine, sans toutefois que l'on connaisse la date de sa création:
Il existait une piste indochinoise, celle de la mine d'or active en 1944 au Vietnam dans la province de Quangnam. Ceci aurait pu expliquer la raison pour laquelle il n'a pas été indiqué d'unité sur les jetons (on s'attend à y trouver des centimes), mais en Indochine il existait bien sûr des centièmes, mais aussi des subdivisions en sapèques de ces centièmes, d'où peut-être l'idée de garder "ouverte" l'unité, et permettant éventuellement une utilisation en métropole avec les mêmes jetons... Il aurait cependant été étonnant que ces jetons aient échappé jusqu'à maintenant aux études spécialisées sur les monnaies indochinoises, et en outre qu'ils ne portent pas de caractères locaux.
Un piste qui avait été écartée est celle du SIEMA (Service d'Information et d'Etudes du Ministère des Armées), puisque cet organe n'a pris sa dénomination qu'en 1958, ce qui est trop tardif pour avoir utilisé des jetons en principe.
J'ai pu voir émettre lors d'une vente sur Internet l'hypothèse d'une origine belge de ces jetons. Ce n'était bien sûr pas à écarter totalement mais Volant étant un graveur parisien cela paraissait peu probable.
On trouve également sur Internet une société SIEMA Applications, ayant son établement principal à Rueil-Malmaison et une usine à Villeurbanne (69100), mais sa création ne date que du 25/07/2005 ce qui l'exclut des candidats.
Quant à la possibilité qu'il s'agisse de la SIEMA (Société Internationale des Epouses de Ministres Adventistes), elle avait été écartée totalement.
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Un grand merci à Claude Demeester pour les recherches menées.
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